Le gouvernement Equato-Guinéen a répliqué par le truchement de son porte-parole, aux accusations de violations des droits humains lancées par Amnesty International.
En effet, à l’occasion du 40ème anniversaire de la prise de pouvoir de Teodoro Obiang Nguema, Amnesty International avait dénoncé la « torture », la « répression d’opposants » et les « violations des droits de l’homme » commises par le régime à la tête de ce pays hispanophone d’Afrique centrale.
L’ONG avait également accusé le pouvoir d’imposer » la terreur par des exécutions extrajudiciaires, des arrestations arbitraires et des tortures ».
Dans une intervention « en réaction à l’article d’Amnesty », le porte-parole du gouvernement équato-Guinéen, Eugenio Nze Obiang a déclaré à la télévision publique que la présidence avait « changé positivement le cours de l’histoire » du pays.
Il a par ailleurs indiqué la « transformation en profondeur » de la Guinée Equatoriale qui vit depuis 40 ans dans « la paix et la prospérité ».
Source: VOA