Les éléments de la brigade judiciaire de la gendarmerie nationale de Malabo, viennent de mettre la main sur une femme pour avoir effectué un avortement clandestin d’une grossesse de 6 mois à Evinayong.
La nommée Asunción, a avoué avoir consommé des médicaments achetés à la pharmacie d’un citoyen nigérian, où elle a procédé a un avortement d’un fœtus de 6 mois. Les faits ont été rapportés par le site Ahora Eg, qui évoque que : la jeune fille voulait se débarrasser de la grossesse afin de renouer la relation avec le père de son premier enfant.
« Le fait a été dénoncé par son partenaire sentimental, Carlos Nzi, qui a également révélé que sa petite amie lui avait dit qu’elle se ferait avorter pour revenir au père de son premier enfant. « Il m’a appelé avec le numéro de sa sœur, me prévenant de ne plus l’appeler, qu’elle allait se faire avorter et qu’elle était déjà revenue avec le père de son premier enfant », explique son copain.
Pour l’heure, la dame a été conduite à la gendarmerie en attendant répondre de ses actes devant la justice équato-guinéenne. L’identité de l’ex-partenaire présumé d’Asunción n’a pas été révélée. Les sources évoquent qu’il s’agit d’un sergent du corps en uniforme de la brigade judiciaire.
L’actualité en vidéo 
