Togo : pas moins de sept morts dans une explosion

Une explosion dans le nord du Togo a fait sept morts et deux blessés dans la nuit de samedi 09 à dimanche 10 juillet 2022.

 

Au moins sept morts et deux blessés dans une explosion qui a eu lieu au nord du Togo, dans la nuit de samedi à dimanche. L’explosion s’est produite dans la préfecture de Tône, près de la frontière avec le Burkina Faso, où une insurrection djihadiste sahélienne menace de s’étendre aux pays côtiers d’Afrique de l’Ouest. L’annonce a été faite par l’armée dans un communiqué sans plus de détails.

« Une enquête est ouverte pour élucider les circonstances de cette explosion et identifier les auteurs », indiquent ce dimanche les autorités togolaises.

Rappelons que, le mois dernier, le Togo a déclaré l’état d’urgence dans ses régions du nord en raison de la menace d’attaques de militants islamistes par delà la frontière.

Les troupes togolaises sont déployées dans cette région pour tenter de contenir une menace djihadiste poussant vers le sud depuis le Mali, le Burkina Faso et le Niger.

CAN féminine au Maroc : le Togo s’incline face à la Tunisie (1-4)

Les Eperviers dames du Togo ont raté dimanche 03 juillet, leur entrée en compétition pour la Coupe d’Afrique des Nations de Football qui se joue au Maroc.

 

Mauvaise entrée du Togo dans la Coupe d’Afrique des Nations de football féminine. Face aux Aigles de Cartages dames, les Togolaises qui participent pour la première fois de l’histoire à une phase finale d’une CAN, se sont inclinées 4 buts contre 1, au stade Mohamed V.

Les buts tunisiens ont été marqués par Sabrine Ellouzi et Mariem Houij en plus d’un but marqué contre son camp par la gardienne togolaise.

L’attaquante tunisienne Mariem Houij a, en effet, ouvert le score en moins d’une minute de jeu. C’est donc pour l’instant le but le plus rapide de la compétition. Ce but sera suivi à la 12e minute du deuxième, marqué par l’autre force d’action de l’équipe tunisienne Sabrine Ellouzi.

Mariem Houij s’offrira son doublé de la partie à la reprise de la deuxième mi-temps après une réduction du score par les Togolaises à la 22e minute sur pénalty. Une consécration de Afi Mafille Woedikou. L’attaquante togolaise ratera en passant, deux autres franches occasions par manque de lucidité dans les quinze dernières minutes avant la fin de la première mi-temps.

La sortie sur carton rouge de l’arrière centrale togolaise Djankalé Omolatcho Mégam Ella à la 54e minute de jeu n’a pas favorisé la reprise en main du match par des Eperviers dames.

Sur la pression, Amouklou Amé, la portière de l’équipe du Togo, va arrêter un ballon qu’elle entraînera par la suite elle-même au-delà de la ligne de son but. C’était à la 71e. Score final Tunisie 4, Togo 1.

Ce match comptait pour la deuxième rencontre du groupe B. L’autre match du groupe opposant le Cameroun et la Zambie a été sanctionné par un score nul et vierge.

La Tunisie est donc en tête de cette poule après ce premier match avec 3 points (+3 au classement). Elle est suivie par le Cameroun (1 point +0). La Zambie est classée 3e avec 1 point+0. Et le Togo est dernier avec 0 point -3

Télécommunication : Togocom reçoit plus de 2,3 milliards d’amende

Le comité de l’Autorité de Régulation des Communications Electroniques et des Postes (ARCEP) condamne Togo Cellulaire à payer une amende de plus de 2, 3 milliards.

 

L’opérateur de télécommunication est accusé de manquements graves à son obligation d’assurer au public une disponibilité permanente, continue et régulière dans la fourniture des services de communications électroniques mobiles.

L’amende intervient après une audition des responsables de Togocom. En effet, l’ARCEP avait mis en demeure Togo Cellulaire (groupe Axian) depuis le 23 novembre 2020 de mettre en œuvre tous les équipements, procédures, protections et redondances nécessaires pour garantir une qualité et une disponibilité de services conformément à son cahier des charges.

Il est constaté une recrudescence et une succession de cas de plus en plus graves d’indisponibilité sur le réseau de l’opérateur, privant des centaines de milliers de consommateurs de services mobiles voix et data pendant plusieurs heures.

C’est fort de tous ces éléments à charge qu’au lendemain d’une audience publique et contradictoire au cours de laquelle l’opérateur Togo Cellulaire a été mis en situation de présenter ses moyens de défenses que le Comité de direction de l’ARCEP a infligé à Togo Cellulaire, par décision n°2022-006/ARCEP/CD/22 en date du 24 juin 2022, une amende de deux milliards trois cent soixante et un millions cent cinquante-huit mille trois cent onze (2 361 158 311) francs.

Soit 2% de son chiffre d’affaires certifié de l’exercice 2021 pour manquements graves à son obligation de disponibilité permanente, continue et régulière des services de communications électroniques mobiles, conformément à l’article 31 de la loi sur les communications électroniques.

Togo : il se suicide pour avoir échoué au BEPC

Seul élève de sa classe à échouer à l’examen du Brevet d’Etude du Premier Cycle (BEPC) de cette année, un jeune garçon s’est donné la mort.

 

Le drame s’est produit dimanche 26 juin 2022. Un jeune élève s’est donné la mort après avoir échoué au BEPC. Selon la presse locale, le jeune garçon, un élève du CEG Danyigan, s’est suicidé pour avoir été la seule personne à échouer dans sa classe.

Rappelons que cette année, ce sont un peu plus de 157 000 candidats qui ont affronté les épreuves du BEPC. Un effectif en nette hausse par rapport à l’année dernière (140 000 postulants).

Commonwealth : le Togo et le Gabon membres de l’organisation

Le Gabon et le Togo ont rejoint, le 24 juin, l’organisation, devenant ainsi les dernières nations sans liens historiques avec le Royaume-Uni à entrer dans le club anglophone dirigé par la reine Elisabeth II.

 

Les deux pays francophones sont les premiers nouveaux membres depuis le Rwanda en 2009. Issu de l’ancien empire britannique, le Commonwealth accueille de plus en plus de pays non liés historiquement avec le Royaume-Uni. Les enjeux motivent un tel intérêt économique et géopolitique. A l’issue du 26e sommet des chefs d’Etat et de gouvernements, qui s’est réuni le 24 juin à Kigali, au Rwanda, le Gabon et le Togo ont officialisé leur adhésion au Commonwealth. Il s’agit de l’aboutissement d’un processus d’examens minutieux sur des domaines tels que la gouvernance, l’économie, le social, etc., qui aura duré environ deux ans.

« L’adhésion du Togo est motivée par le désir d’étendre son réseau diplomatique, politique et économique […] et de se rapprocher du monde anglophone. […] de redéfinir les relations bilatérales avec le Royaume-Uni en dehors de l’Union    européenne après le Brexit », a déclaré le chef de la diplomatie togolaise, Robert Dussey, fier que son pays fait désormais partie des « 2,5 milliards de consommateurs » du Commonwealth. Ce qui représente des opportunités nouvelles, en termes économique, géopolitique et éducatif. Concernant son pays, le président Ali Bongo a souligné que « l’adhésion du Gabon au Commonwealth est la reconnaissance du rôle de plus en plus important joué par cet Etat sur la scène internationale, en particulier sur la question du climat où il est en première ligne », comblé des perspectives diplomatiques qui sont ouvertes à son pays.

Le Premier ministre britannique, Boris Johnson, quant à lui, a indiqué que l’intérêt des nouveaux membres pour l’organisation est la preuve que cette dernière se porte bien. Le Gabon et le Togo sont les premiers pays à intégrer le Commonwealth depuis le Rwanda en 2009, et portent désormais à cinquante-six le nombre de membres. Certains analystes estiment que les deux pays francophones ont également demandé leur adhésion au Commonwealth afin de s’éloigner de la France. Pour le politologue togolais, Mohamed Madi Djabakate, cette décision sera bien accueillie, l’influence française au Togo étant souvent critiquée. Pour sa part, le président rwandais, Paul Kagame, a indiqué : « Nous avons admis le Gabon et le Togo comme nouveaux membres, et nous leur souhaitons tous la bienvenue dans la famille du Commonwealth ».

CAN Féminine 2022 : Grace Talya fait son entrée dans la liste du Togo

La sélectionneuse nationale du Togo, Tomety Kaï, a dévoilé sa liste des 24 joueuses convoquées pour la CAN Féminine Maroc 2022.

 

La technicienne de l’équipe nationale de football dames a fait appel à 24 Éperviers. La liste a été dévoilé mercredi 22 juin 2022.

Dans une semaine, les pelouses africaines vibreront au rythme de la CAN Féminine 2022. Le tournoi aura lieu du 2 au 23 juillet prochain dans les villes de Rabat et Casablanca au Maroc. Qualifié pour la phase finale, le Togo sera également de la partie pour cette compétition. Les Éperviers dames sont logés dans le groupe B assez relevé où figurent des habitués tels que le Cameroun, la Zambie et la Tunisie.

Pour l’occasion, la sélectionneuse nationale, Tomety Kaï, a dévoilé sa liste des joueuses convoquées. En conférence de presse ce mercredi dans les locaux de la Fédération togolaise de football (FTF), la technicienne a choisi 24 Éperviers dames dont 6 gardiennes, 8 défenseures, 8 milieux et 5 attaquantes. Dans cette liste, on remarque la présence de l’attaquante de l’AJ Auxerre en D3 française, Gace Talya, appelée pour la première fois en sélection.

Voici la liste des 24 joueuses sélectionnées :

Gardiennes (3)

  • Hatto Adjo Sophie (Ahé FC)
  • Amouklou Ame Lila (Amis du monde)
  • Bagnim Dialou (Racing club Saint Denis/ France)

Défenseures (8)

  • Djankalé Omolatcho Mégan Ella (Amis du monde)
  • Dowatanti Essowe (Gazelles FC)
  • Houndjo-Tete Dédé Mawule – Le meilleur de Houndjo-Tété Dédé Mawule
  • Assigno Comes Akoko (Athleta FC)
  • Konou Yawa (Amis du monde)
  • Dogbe Akossiwa Parfaite (Athleta FC)
  • Kaglan Ayawoa (Tempête FC)
  • Gagban Afigan (Athleta FC)

Milieux (8)

  • Dogli Afi Rifela (Amis du monde)
  • N’Djambara Amiratou (Raja Ain Harrouda / Maroc)
  • Sama Koudjoukalo (Amis du monde)
  • Badate Nathalie (Tarascon/France)
  • Gnintegma Odette (Raja Ain Harroura/Maroc)
  • Gake Reine (Ahe FC)
  • Yaya Takyatou (Ilkadim Belediyessi / Turquie)
  • Kadanga Solim (Gazelles FC)

Attaquantes (5)

  • Adinda-Akpo Moussouriétou (Soccer intellectuas FC/Ghana)
  • Woedikou Mafille(yzeure Allier Auvergne/France)
  • Manou Bendukilou Bassenam (Athleta FC)
  • Gace Talya (AJA Stade/France)
  • Gantim Ikpindi Lucie (Tempête FC)

Le Togo veut intégrer la Commonwealth

La « Communauté des nations » regroupe 54 pays dont 19 pays africains. Elle va s’élargir avec l’entrée vendredi 24 juin de deux États africains, le Gabon et le Togo.

 

La capitale rwandaise Kigali accueille cette semaine la réunion des chefs de gouvernement du Commonwealth. Héritage de la colonisation britannique et dirigée par la reine d’Angleterre, la « Communauté des nations » regroupe 54 pays dont 19 pays africains. Elle va s’élargir avec l’entrée vendredi 24 juin de deux États africains, le Gabon et le Togo. Ces deux pays pourtant francophones rejoignent donc l’organisation internationale anglophone, après des années d’efforts.

Si le Togo a été marqué par la colonisation britannique, le Gabon n’a pas de lien historique avec le Commonwealth. Mais les deux pays cherchent à adhérer au club anglophone depuis une décennie – le président gabonais Ali Bongo tente même depuis des années d’imposer l’enseignement de l’anglais dès le primaire.

Le modèle du Rwanda, qui a connu un bel essor économique depuis son adhésion au Commonwealth en 2009, est dans toutes les têtes. Intégrer cette communauté anglophone de 2,5 milliards d’habitants n’implique pas d’avantage commercial en tant que tel, mais permet d’attirer de nouveaux investisseurs.

C’est également pour les autorités de Libreville et de Lomé, depuis longtemps critiquées pour leur pouvoir autoritaire, une reconnaissance politique – le Commonwealth ayant mené plusieurs missions sur le terrain pour observer notamment l’évolution des institutions.

Même si le Gabon et le Togo réaffirment leur appartenance à la francophonie, leur entrée dans le Commonwealth est une promesse de relations diplomatiques plus diversifiées. Cela alors que les liens du Gabon avec la France ont été distendus par les affaires judiciaires des « biens mal acquis », et qu’ils se renforcent avec le Royaume-Uni, en quête lui aussi de nouveaux partenaires depuis le Brexit.

Les dirigeants togolais et gabonais ne seront pas présents à Kigali, mais ils seront invités après l’officialisation de l’adhésion de leur pays, à la prochaine réunion du Commonwealth.

Togo : des Ivoiriens sur le point de perdre leur statut de réfugiés

Sur le camp d’Avepozo, situé dans la banlieue de Lomé, la capitale togolaise, Jean-Christophe Dion et des milliers de compatriotes se sont réfugiés lorsque leur pays, la côte d’ivoire, a été secoué par la crise post-électorale de 2010-2011.

 

Pourtant, l’heure est au départ, car, la fin du mois de juin 2022 sonnera la fin de leur statut de réfugiés. Ici, beaucoup sont face à un dilemme : partir ou rester au Togo où ils ont tout reconstruit.

« Compte tenu de ce qu’on a vécu, la peur a fait qu’on a décidé de rester ici un temps soit peu, explique Pierre-Christophe Dion. On ne restera pas ici éternellement on rentrera tôt ou tard. »

Jeudi, 189 passeports ont été remis à des ivoiriens qui ont souhaité rester au Togo par l’agence des nations unis pour les réfugiés et le gouvernement ivoirien afin de faciliter leur rapatriement ou leur intégration locale.

« Nos cartes de réfugiés seront désactivés donc si on n’a pas un document administratif, on ne pourra même pas avoir accès à une petite microfinance où aller à la banque pour des petites opérations », se lamente Pierre-Christophe Dion.

La cessation du statut de réfugié pour les ivoiriens est une recommandation du HCR qui justifie sa décision par la stabilité retrouvée en Côte d’ivoire.

« Le HCR reste engagé à accompagner le processus qui va aboutir avec l’octroi de cartes de séjour privilégiées au Togo de 10 ans », explique Monique Atayi-Koussi, Cheffe du bureau Togo du HCR.

Depuis 2011, quelque 290 000 réfugiés ivoiriens se sont installés dans d’autres pays d’Afrique de l’Ouest. Au Togo, ce sont encore 800 réfugiés ivoiriens qui devront décider de partir ou rester car selon le HCR Togo le camp d’Avepozo sera amené à fermer.

Togo : 189 réfugiés ivoiriens obtiennent un passeport

L’État de Côte d’Ivoire, le Haut-Commissariat aux réfugiés et les pays d’accueil ont signé un accord de rapatriement.

 

D’ici le 30 juin 2022, il ne devrait plus y avoir de réfugiés ivoiriens dans le monde. L’État de Côte d’Ivoire, le Haut-Commissariat aux réfugiés et les pays d’accueil ont signé un accord de rapatriement. Au Togo, par exemple, 189 réfugiés ont reçu hier au cours d’une cérémonie leur passeport qui doit leur permettre de rentrer en Côte d’Ivoire ou de rester vivre dans le pays.

Douglas est arrivé au Togo le 15 décembre 2010, durant la crise électorale en Côte d’Ivoire. Il s’est déplacé pendant douze ans de camp en camp. Aujourd’hui, la quarantaine révolue, il a reçu son nouveau passeport ivoirien, mais son choix est de rester là : « J’ai décidé de m’intégrer au Togo, parce que déjà dix ans d’une vie, c’est beaucoup. Après dix ans, c’est difficile de s’intégrer chez soi. »

Ils sont 189 Ivoiriens à obtenir leur passeport ce jour après plus d’une décennie dans ce camp. Pour Samuel, il est temps de le quitter et rentrer dans son pays : « C’est du bonheur de rentrer chez moi parce que d’abord un, je vieillis ici, sans rien faire et j’ai une famille derrière moi. Donc, il faut mieux rentrer. »

L’accord signer prévoit soit une intégration locale soit un rapatriement. Le HRC ne communique pas sur le nombre de rapatriés prévus, c’est qu’un certain nombre d’entre eux vont rester ici. D’autre vont faire partie du convoi du HCR qui doit quitter le Togo avant fin juin.

Le représentant du ministre ivoirien des Affaires étrangères Abdoulaye Kouyaté promet de donner un passeport aux Ivoiriens qui en feront la demande ultérieurement : « Soyez rassurés que le gouvernement ivoirien mettra tout en œuvre avec le concours de ses partenaires pour vous apporter des solutions. »

Le cadre de l’accord permet au HCR de prendre en charge les réfugies qui font le choix rentrer avant le 30 juin. Mais après cette date, ils seront livrés à eux-mêmes.

Togo-extrême-nord : une nouvelle attaque terroriste déjouée (armée)

L’attaque a eu lieu dans les cantons de Gnoaga et Gouloungoushi, à la frontière partagée par le Togo, le Ghana et le Burkina Faso.

 

L’extrême-nord du Togo a essuyé tôt ce jeudi une nouvelle attaque terroriste repoussée par les forces de défense et de l’ordre, a annoncé à l’Agence Anadolu le colonel Soussou Samah, porte-parole de l’armée togolaise, et attaché à la communication au ministère des Armées.

Il confirme, ainsi, une information relayée par les médias locaux dans la matinée.

L’attaque a eu lieu dans les cantons de Gnoaga et Gouloungoushi, à la frontière partagée par le Togo, le Ghana et le Burkina Faso. Les tirs entre assaillants et forces de défense et de sécurité du Togo ont duré trois heures. Soit entre 3h et 6h du matin.

« C’est grâce à une de nos embuscades qui a permis de les surprendre en dehors du poste de Goulingoushi situé à l’extrême-nord-ouest » a expliqué le colonel Soussou Samah à Anadolu

Il a également affirmé que « les assaillants ont été forcés dans les affrontements de battre en retraite » du côté du Burkina Faso et que « l’armée burkinabè est actuellement à leurs trousses ».

Le porte-parole de l’armée togolaise a ensuite rassuré « qu’il n’y a pas eu de morts, ni de blessés du côté du Togo » et que « les ratissages des forces de défense et de sécurité du Togo déployés dans la localité se poursuivent » en vue d’évaluer « les dégâts du côté des ennemis ».

De novembre 2021 à ce jour, c’est la troisième attaque terroriste perpétrée dans le nord du Togo. Deux ont été repoussées. La seule meurtrière a été celle de la nuit du 10 au 11 mai 2022. Officiellement cette attaque a fait 8 morts et 13 blessés graves.